Dans un monde du travail complètement bouleversé, une vérité s’impose : les collaborateurs·trices ne veulent plus simplement être engagé·e·s. Ils veulent réussir — pouvoir contribuer de manière significative, sans freins inutiles, dans un environnement où ils se sentent à leur place.
Chez JobProfile, ce changement n’est pas une tendance passagère : c’est notre ADN. Nous aidons les organisations à libérer tout le potentiel de leurs équipes en dépassant les anciens modèles d’engagement pour construire des cultures axées sur l’autonomisation et la réussite.
Le mirage de l’engagement
Depuis des décennies, les entreprises investissent pour « engager » leurs collaborateurs·trices — et avec quels résultats ? D’après les données de Gallup, l’engagement n’a pratiquement pas progressé. Les talents continuent de quitter les entreprises, et l’insatisfaction au travail atteint des sommets.
Nous avons essayé l’engagement. Cela n’a pas suffit. Pourquoi ne pas explorer une autre voie ?
La pandémie a mis en lumière la fragilité de nos modèles d’engagement. Mais soyons honnêtes : les fissures étaient déjà là. Pendant des années, dirigeants et services RH sont passés à côté des véritables besoins des collaborateurs·trices — ou ont préféré miser sur des artifices plutôt que sur des changements profonds.
Apéros. Chiens au bureau. Enquêtes annuelles d’engagement.
Rien de tout cela ne touche ce qui compte vraiment : le sentiment d’être reconnu·e, libre et utile.
L’engagement n’est pas le but ultime — la réussite l’est
Se concentrer uniquement sur l’engagement, c’est comme conduire une voiture électrique sans électricité, borne de recharge ni infrastructure. Les entreprises doivent créer les conditions pour permettre à chacun de contribuer pleinement.
Il est temps de cesser de croire que des gadgets ou du feedback superficiel peuvent construire une satisfaction durable. La réussite des collaborateurs·trices n’est pas un mot à la mode : c’est donner à chacun·e les moyens de s’épanouir réellement.
Chez JobProfile, nous définissons la réussite comme bien plus que des motivations passagères : c’est la capacité à contribuer pleinement, sans obstacles inutiles. Et cela n’est possible que si les entreprises passent de l’engagement à l’autonomisation.
L’autonomisation : l’avenir du travail
La différence entre engagement et autonomisation, c’est la différence entre survivre et s’épanouir.
- L’engagement, c’est avoir un pouls.
- L’autonomisation, c’est se sentir pleinement vivant·e dans son travail.
L’autonomisation, c’est donner aux collaborateurs·trices, la clarté, l’autonomie et les outils dont ils ont besoin pour réussir — et savoir ensuite s’effacer pour les laisser faire.
Les recherches menées par Google (projet Aristote) montrent d’ailleurs que la sécurité psychologique et l’autonomisation sont les véritables moteurs de la performance d’équipe — bien plus que les soirées pizzas ou les grands meetings.
Quand les collaborateurs sont réellement autonomes, l’engagement suit naturellement. Alors arrêtons de chercher à leur faire aimer leur travail : Donnons-leur les moyens de le faire bien, soutenons-les pleinement, et célébrons leurs réussites.
Le piège de l’engagement : pourquoi il ne fonctionne plus
Beaucoup d’entreprises confondent « plaire » avec « empowerment ». Elles tombent dans le piège de l’engagement en cherchant à susciter de l’adhésion sans donner les moyens de réussir.
Pire encore : les médias et les réseaux sociaux aggravent ce phénomène en glorifiant les mauvaises figures. Les CEOs sont érigés en visionnaires, tandis que les équipes qui réalisent concrètement le travail passent inaperçues.
Les contributions quotidiennes, les efforts invisibles, la résilience des collaborateurs sont oubliés, éclipsés par les gros titres sur les profits records.
Il est temps de changer ce récit. Valorisons nos équipes publiquement. Célébrons leurs réussites. Rendons hommage à ceux et celles qui sont le véritable moteur de la réussite des entreprises.
Pourquoi l’autonomisation reste difficile
Malgré une prise de conscience croissante, de nombreuses organisations restent bloquées. Pourquoi ? Parce que l’autonomisation exige du courage, de l’humilité et un changement en profondeur.
Voici les trois principaux freins :
- Préparation des leaders : Beaucoup de dirigeants ne sont ni prêts, ni disposés à lâcher prise pour donner de l’autonomie.
- Rigidité des structures : Des processus dépassés et des hiérarchies lourdes empêchent l’agilité.
Manque de conscience : Les collaborateurs eux-mêmes n’osent pas toujours réclamer les conditions qui leur permettraient de s’épanouir.
Comment construire une culture de l’autonomisation
Chez JobProfile, nous croyons que le changement commence petit — mais avec une vraie intention.
Voici comment enclencher ce cercle vertueux :
- Commencez avec les équipes : Testez l’approche dans des groupes pilotes. Écoutez leurs retours et effectuez un premier ajustement concret qui libère leur potentiel.
- Changez votre manière de diriger : Voyez le leadership comme une fonction qui retire les obstacles plutôt qu’une fonction de contrôle.
- Repenser la formation : Développez les compétences en prise de décision, leadership adaptatif et communication moderne.
- Mesurez ce qui compte vraiment : Abandonnez les indicateurs vagues d’engagement pour suivre des mesures concrètes d’autonomisation : clarté, accès aux ressources, collaboration, responsabilisation.
Supprimez les blocages : Identifiez les processus inutiles, les normes toxiques, les « on a toujours fait comme ça » — et éliminez-les.
Quand l’autonomisation précède, l’engagement suit
Quand les collaborateurs sont réellement vus, écoutés et soutenus, l’engagement devient une conséquence naturelle, pas un objectif artificiel.
Certains continueront à dire que l’engagement favorise la performance. C’est vrai, mais l’engagement sans autonomisation est vide — un simple coup de peinture sur un mur fissuré.
L’autonomisation, elle, est l’infrastructure. Le moteur. Le système. La conviction.
Lorsqu’elle est sincèrement mise en place, elle donne naissance à :
- Des équipes souriantes, qui avancent ensemble sans compter les points.
- Des échanges transparents et authentiques.
- Une fierté et un engagement collectifs.
Une performance durable, sans épuisement.
Faisons de la réussite la norme, pas l’exception
Nous ne sommes pas là pour réajuster de vieux modèles. Nous sommes là pour les transformer.
Ne courons plus après l’engagement comme s’il était une fin en soi. Construisons des environnements où la réussite des collaborateurs devient le véritable moteur de l’entreprise.
Chez JobProfile, nous aidons les organisations à repenser le travail — pour que chacun puisse s’épanouir, être reconnu et réussir collectivement.
Rejoignez le mouvement. Faisons de la réussite partagée une réalité durable.